Y A T'IL UN PILOTE DANS L'AVION

L'annonce récente d'un référendum pour un changement significatif de la commune a suscité de vives inquiétudes parmi les résidents . Ce référendum, prévu pour se tenir dans les prochains mois, vise à décider de l'avenir de la commune. Cette décision soulève des questions profondes sur l'identité, la gouvernance et le développement futur de la station.

Nous vous invitons à prendre connaissance de l'article publié dans le journal Le Dauphiné Libéré.

Avenir de Chamrousse : un référendum proposé aux habitants à la fin de l’année

L’annonce de la maire de Chamrousse, Brigitte de Bernis, lors de ses vœux pour 2025, de la tenue d’un référendum à la fin de l’année sur « l’avenir organisationnel et partenarial » de la station a surpris tout le monde mercredi soir. Parce que la question est aussi sensible que politique.

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Quel avenir pour Chamrousse ? Rester indépendante, devenir communautaire ou métropolitaine ?

Il faudra attendre encore quelques mois encore pour connaître précisément les contours de ce référendum dont la tenue est prévue n 2025. Mais la question de cette consultation citoyenne, elle, est bien posée. Et va faire causer… à un an des municipales de 2026. « Voulez-vous rester comme aujourd’hui une station indépendante au sein du Grésivaudan ou souhaitez-vous devenir une station communautaire comme Le Collet d’Allevard, les Sept Laux et le Col de Marcieu, ou, enfin, rejoindre la Métropole de Grenoble ? » a lancé Brigitte de Bernis, la maire de Chamrousse à la cinquantaine de résidents permanents et secondaires venus assister mercredi soir à ses vœux pour 2025.

« Le sujet est sensible, très sensible », a même reconnu l’édile mais « il nous semble nécessaire de donner la parole aux Chamroussiens ». D’autant qu’on « ne leur a jamais demandé leur avis sur la question », soulève, en aparté, la maire.

Pourquoi un référendum maintenant ? « La situation a évolué depuis 2009, date où la majorité des communes regroupées au sein des Balcons de Belledonne a rejoint la communauté de communes du Grésivaudan », rappelle Brigitte de Bernis. Déjà, les trois stations, Le Col de Marcieu, la première, puis le Collet d’Allevard et en n Les Sept Laux sont passées dans le giron du territoire Le Grésivaudan avec un office de tourisme intercommunal [qui gère depuis janvier 2024 également la station